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Merveille n°30 : Le cercle des poètes disparus

Autre pépite en ce moment à Paris : Le cercle des poètes disparus, adapté en pièce de théâtre ! Que vous ayez vu ou non le film, vous serez touché par cette histoire qui célèbre la transmission, la passion, l’amitié. On y découvre un professeur de littérature aux méthodes peu conventionnelles, Monsieur Keating, ainsi que ses élèves aux caractères bien distincts ! Il les poussera à regarder les choses sous un tout autre angle et à remettre en question l’ordre établi… C’est drôle, c’est touchant, c’est universel, intemporel. Une ode exaltante à l’urgence de vivre. Oh capitaine, mon capitaine… merci pour ce moment !






Voilà quelques-uns de mes extraits favoris :


« On ne lit pas ni écrit de la poésie parce que c'est joli. On lit et écrit de la poésie car on fait partie de l'humanité. Et l'humanité est faite de passions. La médecine, le droit, le commerce sont nécessaires pour assurer la vie, mais la poésie, la beauté, la romance, l'amour, c'est pour ça qu'on vit. »


« En dépit de tout ce qu'on peut vous raconter, les mots et les idées peuvent changer le monde. »


« C'est instinctif, nous recherchons l'approbation. Mais il faut vous assurer que vos convictions sortent de ce qu'il y a de plus personnel en vous, même si les moutons bêlent et se choquent, même si on vous dit que vous faites fausse route, que c'est mal. C'est Frost qui a dit : " Dans la forêt, le chemin se sépare en deux, et là, je choisis toujours le moins fréquenté, et chaque fois je constate la différence. »


« Je m'en allais dans les bois parce que je voulais vivre sans hâte. Je voulais vivre intensément et sucer toute la moelle de la vie. Mettre en déroute tout ce qui n'était pas la vie, pour ne pas découvrir, à l'heure de ma mort, que je n'avais pas vécu. »


« Le spectacle continue et tu peux y apporter ta rime. Quelle sera votre rime ? »

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